Brick. 76-82. Un succès Dazz en 76, qui, joué et orchestré, est quand même très mou et pas si inspiré. C'est la règle générale quand on écoute les autres titres.
The Brides of Funkenstein. 78-81. Groupe féminin avec des changements lancé par George Clinton. Elles participent à l'album solo d'Eddie Hazel, puis sortent un premier album. Remaniement du groupe, second album. Un troisième album est demeuré inédit, les titres sortant sur le catalogue P-Funk à l'occasion.
The Brothers Johnson. 75-82. Assez glamour et les sons parfois déliquescents qui se mirent en place dans la seconde moitié des seventies, mais des titres pas trop mal, dont le fameux Stomp. On peut relever leur reprise de Shuggie Otis : Strawberry letter 23 et des titres comme Ain't we funkin' now, Get da funk out ma. Ils distribuaient régulièrement un titre instrumental par album : Q, lettre pour un hommage discret à Quincy Jones. Le duo se sépare ensuite.
Chuck Brown / The Soul Searchers (65-76). Considéré comme le promoteur d'un sous-genre du funk, le go-go. Blow your whistle. C'est en tout cas rythmé. Un titre pas mal, classieux : Ashley's Roachclip. A creuser.
James Brown. De 54 au milieu des années 80.
Inévitablement associé au funk, The Godfather comme on dit, James Brown fut pour moi plus intéressant avant. Son funk est trop raide, je préfère d'autres artistes funk, Sly Stone ou toute l'équipe de George Clinton, Betty Davis. J'aime plus les ballades et le rhythm'n'blues jazzy de 58 à 66.
Première période 54-60, The Famous Flames. Little Richard se retirant, il prend la relève dans les charts.
Avec une vidéo qui a le sens du show Please Please Please, titre inspiré d'une première version du rock du Baby please don't go de Big Joe Williams. Le titre répétitif est de Little Richard qui n'a pas achevé le travail.
L'autre grand titre de cette première période, en réalité mitigée, c'est la ballade Try me.
Deuxième période 60-69 (la meilleure), albums au nom de James Brown, albums solos donc, et arrangements plus jazz.
Think, Night train, I lost someone, Out of sight, Papa's got a brand new bag, I got you (I feel good), I don't mind, Shout and shimmy, It's man's man's man's world.
Think (Aftermath en 66) des Rolling stones a un petit quelque chose du Think de James Brown. Une réécoute titre par titre me rappellera de quel titre de James Brown je songe aussi à rapprocher le superbe Heart of stone des Rolling stones.
Evolution, émergence du funk.
Troisième période, 70-76. sillon du funk.
Tom Browne. 79-83. Funk d'un trompettiste. Pas essentiel. Bêtement commercial.
B.T. Express. 70's. Commercial, mais lancé par la reprise d'un titre de Billy Nichols : Do it 'til you're satisfied.
Keni Burke solo à partir de 77, sinon musicien de studio + Five stairsteps 60's.
Bobby Byrd. co-auteur du hit Sex Machine. I know you got soul.
Blowfly. Compositeur 60's et artiste à son nom également. Je ne connais pas.
Bull & the Matadors. 60's. Groupe rhythm'n'blues. Titre de 68: The Funky Judge.
A suivre.
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