A part Betty Davis, voilà que je mélange à mes collector’s de rock des albums de funk qui se sont bien vendus Up for the down stroke ou Stand ! L’important pour moi, c’est que le fan des Rolling stones, Who, Beatles, sinon de rock seventies réalise l’existence du puits sans fonds. J’aurais pu commencer par citer du rock des années 50 : Chuck Berry, Bo Diddley, Little Richard et d’autres, mais la démarche est trop prévisible et j’ai prévu quelque chose de plus radical avec du rockabilly Johnny Powers et Charlie Feathers, plus d’autres idées dont je ne parle pas pour l’instant. J’aurais pu déjà aligner quelques albums de soul, mais là encore c’est trop prévisible. Je pense que mon exploration funk était bien jouée. Il y a maintenant des pointures sixties dont une foule d’albums s’avère de référence que je n’ai pas encore mis en valeur. Il y a énormément de choses à dire sur la scène rock californienne par exemple. Puis, pour beaucoup de gens, les noms des Kinks, des Small faces, des Flamin’ Groovies, des Love ne diront rien du tout, alors qu’ils jaillissent dès qu’on approfondit un peu la musique sixties. Je brûle d’envie de parler des quatre premiers albums de Love, de Supersnazz des Flamin’ Groovies devant leurs Teenage Head, Flamingo et Shake some action. Une page collector’s s’impose sur le difficile d’accès Muswell Hillbillies, sinon sur la réédition trois CDs de Village green preservation society, sans oublier bien d’autres de leurs opus et leur fameux Lost Kinks album en vinyle. J’ai des vinyles officiels de grands artistes interdits à la vente par les artistes mêmes ou purement confinés à un pays, j’y reviendrai. Il s’imposerait de parler de bootlegs des Rolling stones et des Who. Il faudrait une page sur Brussels affair et une sur le concert des Who à Amsterdam en 69. Je peux suivre encore les carrières solos obscurs d’artistes connus dans des groupes. On peut penser aux albums Talk is cheap et Main offender de Keith Richards des stones, voire à Wandering spirit de Mick Jagger. On peut citer McGuinn, Clark ou Crosby des Byrds. Roy Loney est le nom qui s’impose avec évidence à ce petit jeu-là. Je parlerais encore de la série officielle de Dylan qualifiée de Bootleg series. J’en ai encore pour un assez long temps en fait, d’autant que je dois encore parler du rock garage proprement dit, des compilations, de coffrets spéciaux des stones (Get yer ya-ya’s out ou Exile on main street). Il faudra aussi que je présente Butch Hancock ou bien mon coffret 4 CDs (pourquoi ne pas écrire 4 CD pour des abréviations, puisque c’est d’office la bonne orthographe ?) de Townes Van Zandt Texas troubadour.
Il y aurait bien des astuces de présentation pour commencer à parler de tout à la fois. Je numéroterais différemment mes séries, et j’emploierais des techniques pour que les différences soient évidentes entre les articles des diverses séries. Le plus simple serait d’adopter une couleur de texte par série, sinon adopter ici un système nettement distinct et voyant de titrages pour chaque série. Pour l’instant, je vais continuer sur ma lancée. Après tout, j’ai mis le turbo.
Mmh ! je déballe à l’instant un 33 tours qui m’arrive de Suède. Le déballage est laborieux, scotch intégral. La galette noire est en bon état. Salut.
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