Un petit parcours parmi les noms du funk.
100 Proof (Aged in soul). 69-72. Deux albums, leur principal succès est Somebody's been sleeping, titre plus fait pour le succès que pour imposer les qualité d'un groupe. Mais, je vais creuser. Passant en revue des débuts de titres, je semble pouvoir être intéressé par quelques-uns.
100 Proof (Aged in Soul) - Don't scratch where it Don't itch24-7 Spyz. Milieu des années 80. Groupe noir-américain à tendance heavy metal avec des éléments funk, etc. Je préfère les passages funk aux passage heavy metal.
Vicki Anderson 65-75. Chanteuse soul, à plusieurs reprises aux côtés de James Brown. Pas spécifiquement funk, un succès en 70 : The Message from the soul sisters.
Antibalas, groupe à peu près des années 2000. Pas très euphonique. Un style fanfare latinos banalisant et mièvre.
Steve Arrington. Milieu des années 80. J'écoute son succès Dancin' in the key of life, je m'arrête au premier tiers (2 minutes sur six), c'est parfaitement horrible.
Nickolas Ashford & Valerie Simpson. 60's-70's.
Grand duo de compositeurs, moins connus en tant que duo d'artistes. Pas spécifiquement funk, a fortiori dans les sixties. Ils ont composé un nombre conséquent de hits pour d'autres artistes, notamment Ray Charles, mais aussi côté Motown, le titre Ain't no mountain high enough succès pour Marvin Gaye, puis Diana Ross.
Pour The 5th Dimension en 68 : California Soul.
Pour Aretha Franklin en 64 : Cry like a baby.
Pour Ray Charles : Let's go get stoned et I don't need no doctor. Ce dernier titre a été joué par Nick Ashford lui-même. Ce dernier titre, souvent repris par ailleurs, est la source nette du titre des Flamin' Groovies: Headin' for the Texas border.
Pour Marvin Gaye and Tammi Terrell : Ain't no mountain high enough.
J'ai collectionné tous les albums sixties de Marvin Gaye, mais pas ceux avec des chanteuses diverses, car ils sont franchement moins bons. Et même ce titre ne me paraît pas brillamment interprété.
Reprise de Diana Ross du titre précédent Ain't no mountain high enough.
Aurra. Années 80. De la musique bien merdique des années 80.
The Average White Band. Groupe écossais des années 70. Leur succès Pick up the pieces en 74. Mais ça vire très vite disco y compris sur les autres titres du premier album. Il y a quand même des titres funky corrects. If I ever lose this heaven, Cut the cake, School boy crush, etc.
Roy Ayers. 60's et 70's. Trop jazz pour moi, cette discographie abondante. Un assez bon titre funk : Funk in the hole. On lui doit aussi la bande-son de Coffy, film de blacksploitation.
Eryka Badu. 90's. Plutôt R'n'b-soul avec un zest traditionnel que funk.
The Bar-Kays. 60's-70's, groupe Stax. Dans les sixties, plutôt Rock et rhythm'n'blues. Soul finger, un classique. Groupe instrumental. Un côté funk dans le groove. Holy Ghost. Evolution funk : Son of shaft (live). Je vous épargne les titres des années 80 comme Traffic jammer ou Freakshow on the dancefloor.
The Beginning of the End - Funky Nassau 71
De la musique latinos banale, dont on ne saisit pas le côté funk. Sans intérêt.
Edwin Birdsong. Années 70. Bizarroïde, pas terrible.
The Blackbyrds. 70's. Groove instrumental lent pas mal Funky Junkie. Après, ça vire grosse disco pour salon de coiffure. Je renonce très vite à approfondir.
Bloodstone. Principalement 73-84. Un peu gentillet, mais pas mal. Who has the last laugh now
Eddie Bo. 50's, 60's, 70's. Je dois creuser. Hook and sling, I'm wise qui est l'original de Slippin' and slidin' de Little Richard.
Hamilton Bohannon. 70's. Disco tapant du rythme. Foot stompin.
Booker T and the MG's. Principalement 60's. Groupe instrumental Stax au titre mythique de 62 Green onions. Steve Cropper au sein du groupe. Musique plutôt soul, rhythm'n'blues, avec un peu d'évolution funk. Ils ont aussi accompagné Mitch Ryder sur l'album The Detroit-Memphis Experiment: Liberty. Je cite d'autres titres sixties, mais sans songer à un raccord au funk : Melting Pot, Summertime (reprise).
Bootsy's Rubber Band. 76-79. Groupe de Bootsy Collins qui jouera ensuite à son nom ou sous d'autres noms de groupes et reviendra à ce nom de groupe. Sa voix grave comique et son jeu de basse, il apparaît aux côtés de Jams Brown, de Parliament-Funkadelic. Tardivement, il a collaboré au hit Groove is in the heart de Deee-Lite et il apparaît avec d'autres chanteurs plus récents parfois, mais je passe. En-dehors du passé avec James Brown et Funkadelic-Parliament, on retiendra, même si c'est parfois mitigé, ce qu'il a fait de 76 à 79 dans le groupe Bootsy's Rubber Band. Premier album en 76, en parallèle du Mothership connection de Parliament : Stretchin' out in. Suivront Aah! the name is Bootsy, baby et Bootsy? Player of the year qui sont meilleurs. Can't stay away, Hollywood squares. Bootsy? Player of the year était initialement vendu avec les lunettes, je n'ai que le vinyle.
Brass construction. 75-85. Disco, très, mais vendable en la matière. Movin', Changin'.
Breakwater. 78-80. Un titre rock marquant typé 80, mais à part dans leur production : Release the beast. Deux albums, un en 78, un en 80. Plus gentiment disco : No limit, You, malgré le mélange d'influences.
Brecker Brothers. Je dois creuser. East river.
A suivre. Il sera encore question de James Brown, Betty Davis, de Funkadelic, Parliament, George Clinton, Fred Wesley et Eddie Hazel, des Isley Brothers, Impressions et JB's, des Wilds Magnolias, de Sly and the Family Stone, des Meters, de Charles Wright, et de bien d'autres encore...
Betty Davis - F.U.N.K.
The Wild Magnolias - Soul Soul Soul
Sly and the Family Stone - Thank you fallentinme be mice elf agin
Funkadelic - Standing on the verge of getting it on
Parliament - Breakdown
Isaac Hayes - Theme from shaft
Fred Wesley & The Horny Horns - The Cookie Monster
The Meters - Chicken Strut
Betty Davis - They say I'm different
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