jeudi 25 octobre 2012

Spéciale 70's #12 sur ouiFM

Pas vraiment d'entrée en matière, réjouissances seulement. Effectivement, autant les sixties ont une délimitation par la courbe 63-69(70) quitte à s'accorder sur la présence de paliers successifs, autant il n'est guère jouable d'unifier les seventies: fin d'âge d'or sixties pour la période 70-72, lancée de ce qui oppose les seventies aux sixties avec progressif, hard rock de 70 à 76, puis période new yorkaise et punk retour sixties sans redites de 77 à 80, avec le développement parallèle de tout ce qui est voué à être éternel par son pourrissement qui convient à tous (variété débilitante, disco popotin, rock FM, etc.).

J'aime bien les trois premières chansons, mais comme d'habitude, la recherche de garanties intellectualisantes: Pink Floyd, Stooges, Velvet.


Ouverture de l'album Meddle, meilleur et peut-être seul immense album de Pink Floyd en-dehors de la période Barrett (More, Atom heart Mother, Dark side of the moon, the Wall, Wish you were here, etc., étant une sacrée brochette d'albums ratés le plus souvent avec une majorité de titres inaudibles). Ce titre prolonge s'il me souvient bien un titre, d'ouverture?, du second album A saucerful of secrets.
One of these days, Echoes, l'album Meddle en général, Another brick on the wall, des choses impressionnantes, et puis le reste si imbuvable, il y a une vraie énigme des Pink Floyd sans Barrett pour moi.


Super album d'un bout à l'autre. Des musiciens limités, mais pourtant c'est artistique d'un bout à l'autre, à tel point qu'on en oublie facilement que c'est du son hérissé en principe dur à encaisser pour un mélomane. Ben si, on éprouve un plaisir mélomane, malgré le son hérissé et le côté limité cordes-batterie.


Composition qui a tout pour plaire, enchanter, faire chanter, mais jouée de manière à paraître de qualité sans être vendable ou entraîner à chanter. On l'écoute posé. Très particulier.


Eh Dieu, tu fais moins le malin avec ta musique de sphère depuis qu'il y a les Rolling stones. Joyau, joyau, joyau!


Arglh! ça me rappelle que des Byrds j'ai outre un coffret 4 CD, les six premiers albums splendides de 65 à 68 et Byrds de 73 au line up original, plus le double vinyle de l'Albert Hall. Il m'en manque. Live et studio, 69 m'a semblé moins pertinente année. Je n'ai pas Mr Byrds and Dr Hyde ou The Ballad of easy rider. Je n'ai pas Byrdmaniax ou Farther along, et enfin je n'ai pas ce Untitled de 70. Je m'en veux quand même.


Bon, mais je n'ai rien d'eux, n'en ayant pas fait une priorité.


De Crosby, les Byrds, sa fréquentation du Jefferson Airplane et son superbe album solo If only I could remember my name. De Still, les albums du Buffalo Springfield ou Manassas, de Neil Young une fournée d'albums solos et encore le Buffalo Springfield, mais les quatre ensemble c'est moins bien que tout ce que je viens de citer. Quant à Graham Nash, il joue aussi dans les Hollies, mais, si c'est (assez) bon les Hollies, ce n'est pas sans impression mitigée de ma part.


Excellent titre. Les Who sont en train de baisser de niveau, mais Who's next est leur dernier grand album studio. Malgré quelques performances, Quadrophenia est la chute libre aggravée encore par la suite. Le groupe reste brillant en live en 73 et très bon même encore en 75 toutefois. Etrangement, le public préfère souvent Who's next aux chefs-d'oeuvre suprêmes des sixties My Generation, A Quick One, Sell Out et Tommy. Peut-être une question de format rock.


Très mauvais choix évidemment. Après trois premiers albums impeccables, Led Zeppelin commet une chose étrange Led Zeppelin, dont encore une fois on comprend mal que ce soit l'album préféré d'une majorité de fans du groupe. Autant les quatre premières chansons sont dignes des trois premiers albums, autant les quatre derniers titres sont en chute libre et annoncent les mauvais sons, répétitions obsédantes à tue-tête sans inspiration de la suite.


Rock français pas mal, un peu trop littéraire quand même.


Je ne comprends pas le choix, ça ne vaut pas grand-chose.


Il y a mieux que ça, le nom est déjà un hommage à un groupe peu connu Juicy Lucy dont les deux premiers albums sont bons, meilleurs que ça.


Rock français pas trop mal, mais bon, faut avoir envie d'écouter une chantonnerie dans le genre schtroumpf-rock.


Correct, blues-rock rock'n'roll poncif.


Pas terrible du tout. Pour les âmes d'ados qui se sentent des super héros fluidifiant les énergies de la tête et des bras et du dos, dans l'espace confiné de leurs chambres. Coincez bien une mâchoire bien dure, on y croit, on vit... Le son est pourri, la mélodie est flasque, c'est pas grave, je plane, solo de guitare fais-moi grand pendant que la rythmique riffe. J'atteins Dieu, j'atteins, c'est si simple et en chambre, c'est épique sur un lit.


Euh? intro pourrav' bien longuette. Rengaine de l'onomatopé wow wow, creux musicaux, qu'est-ce que c'est que ça pour une merde?


Ressemble un peu à Paranoid de Black Sabbath, mais franchement moins bien. Mouais.


Très mauvais choix. Après les trois premiers albums, Steve Miller Band est un groupe qui tourne mal avec pour exception et encore pas spécialement bien interprété le hit The Joker. Jungle love et a fortiori Abracadabra, c'est de la merde.


Il y a mieux que ça comme grands noms seventies. Mais ça vient après de telles nullités que ça rassurerait presque.


Des continuateurs d'Eddy Mitchell. Pas compris l'intérêt de ce rock français.


Je ne connaissais pas ou n'en ai pas souvenir. Je ne perdais rien.


Correct, quelques bons titres. J'ai juste un album The Last arrival, un titre dans le genre.

Quelle catastrophe cette série seventies de Manoeuvre...

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