samedi 17 mars 2012

71. Julie Driscoll (& Brian Auger) Open; 72. Brian Auger & the Trinity Definitely what!....

Un digipack 2 CD qui contient deux albums de Brian Auger: Open et Definitely what...
Le hic, c'est que la pochette présente simplement le profil de Julie Driscoll et lui attribue l'album Open: indication d'artiste donnée Julie Driscoll Jools. Brian Auger est évincé. Victime du culot commercial, il n'est pas mentionné sur son album qui eut le plus de succès. Il eut ensuite l'occasion d'enregistrer un album sans Julie Driscoll: Definitely what!.... (sorti plus tard en 71) Un autre bon album a suivi en 69 Streetnoise, dans la foulée du single This wheel's on fire, avant qu'il n'entame une carrière 70's différente et moins intéressante.
Brian Auger est réputé comme musicien: pianiste jazz, meneur de groupe, musicien de session ou innovateur à l'orgue Hammond B3.
Brian joue sur le titre "For your love" des Yardbirds. Présidente du fan club des Yardbirds, Julie Driscoll se retrouve avec Brian Auger dans le groupe Steampacket, avec Rod Stewart.
Enfin, Brian crée son propre groupe The Trinity avec la chanteuse Julie Driscoll. Le premier album Open est sorti en décembre 67 et a connu un succès important en France. Le single "This wheel's on fire" a suivi et fut toujours un important succès, numéro 1 en Angleterre et dans différents pays d'Europe. L'album Streetnoise a suivi en 69. Puis, en 70, c'est le groupe The Oblivion Express qui est créé. Je suis revenu à ce que j'avais déjà dit.
L'album Open a été enregistré live en cinq heures dans un studio loué pour la nuit. D'autres singles furent édités, notamment Save me qui connut le succès en France. Il y eut aussi Road to Cairo. Brian Auger n'a été mentionné ni sur la pochette de Save me, ni sur celle de Road to Cairo. Seul le nom de Julie Driscoll apparaît.
Brian Auger précise que le contrat avait été signé pour une maison qui n'existait pas, qu'il n'y eut pas de recours possible et qu'il ne toucha jamais un penny pour les singles et les trois albums Open, Definitely what et Streetnoise.

Julie ne chante que sur une partie des titres. Les commentaires n'attirent l'attention que sur les reprises, les titres plus rocks. Certains commentaires ne s'improvisent pas. Pour l'instant, il me suffit de créer des tremplins.

Open

In and Out (Montgomery) (bain de sons jazz)
Isola natale (Auger) (très bon)
Black cat (Auger) (super clip, super rythme)
Lament for Miss Baker (Auger) (remarquable)
Goodbye Jungle telegraph (Auger) (percussions originales)
Tramp (Fulson, McCracklin) (le titre d'Otis Redding, voix de Julie)
Why (am I treated so bad) (Staples) (voix de Julie)
A kind of love in (Auger, Driscoll) (vidéo d'époque accompagnant la chanson, présence de Driscoll)
Break it up (Usher) (rythmé, clip du groupe, chant de Julie)
Season of the witch (Donovan Leitch)

Bonus tracks:

I've gotta go now (Pappelardi)
Save Me (vidéo live Allemagne 69)
Save Me (vidéo plus intime)
Save Me (Ousley, Franklin, Franklin)
Save Me (vidéo couleur d'époque) (Toujours aussi délirant de voir Julie aux cheveux courts danser avec les bras, les mains et les ports de tête / Brian c'est pas mal non plus!)
The Road to Cairo (Ackles)
This wheel's on fire (Dylan, Danko) reprise de Bob Dylan et important succès.
This wheel's on fire (autre clip)
This wheel's on fire (vidéo d'époque)

Definitely what!...

A day in the life (la chanson finale de Sgt Peppers en version jazz)
George Bruno Money
Far horizon
John Brown's body
Red beans and rice (vidéo couleur)
Red beans and rice pt. 1 & pt. 2 bonus tracks
Bumpin' on sunset
If you live
Definitely what

Bonus

What you gonna do


Je garde Streetnoise pour une autre fois.

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